Arrivée sur l’Ile d’Oléron après un périple de plus de 1000km. Ciel pur comme un saphir, 22°C, brise revigorante, pas de doute, on y est.
Je déballe mes valises et je profite de mon après-midi pour visiter les environs. Une fois le soir venu, je ne peux pas résister à l’envie de prendre mon premier coucher de soleil Oléronnais.
Vu que j’ai eu quelque difficulté à les trouver, voici un lien pour ces octets fort utiles :
Drivers XP Techniclan TMP-5414A
Aucune garantie, aucune documentation, mais « chez moi ça marche ».
Ça faisait longtemps que je voulais retourner au centre de réintroduction de Hunawihr. Avec le soleil de ces derniers jours, l’invitation était lancée.
Un évènement exceptionnel (du soleil !) m’a poussé à revenir à l’Illwald à coté de Sélestat. J’en ai aussi profité pour compléter un peu les tracés sur OpenStreetMap.
Ma récolte photographique a été un peu maigre : beaucoup de mésanges, un pic mar (trop loin) et des cerfs trop rapides pour moi. C’est avec plaisir que j’ai découvert, une fois revenu chez moi, que l’une des espèces que j’ai photographiée est une première pour moi :
Comme les années précédentes, je répond présent à la Japan Addict, qui s’est déroulée à Strasbourg du 20 au 22 février 2010.
Et, comme d’habitude, j’ai fait beaucoup plus de photos que les quelques-unes que j’expose ici. Que tout ceux à qui j’ai donné ma carte n’hésitent surtout pas à m’envoyer un mail pour avoir accès à la galerie complète (plus de 2000 photos) et récupérer leur photos. A chaque fois l’exercice de la sélection me fend le cœur, mais c’est le prix à payer pour garder le site utilisable.
Avec Pierre-Nicolas et sur les bons conseils de Georges, nouvelle incursion dans l’Illwald, près de Sélestat.
Cette fois-ci dans un but particulier : essayer de croiser quelques spécimens de la harde de daims qui peuple la foret (300 individus).
On est venu, on les a vu, mais on a pas trop vaincu, à savoir peu de photos convaincantes. Ça reste plutôt encourageant pour moi, puisque que nous n’avons pas pris de grosses précautions et que nous y sommes juste allés lentement et en silence. Au total je dirais qu’on a croisé plus d’une douzaine de cervidés en deux heures.
Le temps particulièrement maussade de ces derniers mois ne m’a pas permis de faire beaucoup de sortie photo, et encore moins de photos réussies. Je rassemble donc ici la maigre moisson d’images du trimestre écoulé.
(Cliquez sur la photo pour la voir dans sa taille originale)
Petit entracte photographique à base de Bredele.
Pain d’épices nature
J’étrenne le 7D au Polder d’Erstein, profitant des rares rayons de soleil de ces derniers jours.
Commençons par un pinson des arbres.
